Le leader du marché du porno en France a été contraint de supprimer près de 200 vidéos de son catalogue après la mise en examen pour «viols», «proxénétisme aggravé» et «traite d’êtres humains aggravée» d’un producteur avec lequel il était en lien étroit. C’est ce qui ressort de la procédure judiciaire en cours.
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