Le «vivant» noie-t-il le poisson politique?



L’arbre du «vivant» cache-t-il la forêt de l’exploitation et de la domination? Les adeptes du tournant non humain sont-ils voués à être domestiqués par la capacité de récupération du capital? L’affrontement sourd entre pensées du vivant et théories anticapitalistes cristallise les hésitations sur la couleur politique que devrait dessiner l’alliance entre le vert et le rouge. Un article de la «Revue du crieur».



Source link

Articles recommandés

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *