Faisant désormais profil bas, vendredi à l’ouverture de son second procès, l’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron reconnaît avoir commis plusieurs délits qui lui sont reprochés. Mais pas les violences du 1er mai 2018.
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Faisant désormais profil bas, vendredi à l’ouverture de son second procès, l’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron reconnaît avoir commis plusieurs délits qui lui sont reprochés. Mais pas les violences du 1er mai 2018.
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