Les ONG écologistes n’échappent pas, à l’instar de toute la société civile, à la violence de l’État russe. Vendredi, Greenpeace a été déclarée «indésirable» dans le pays. Sous couvert de soutenir l’économie en ce temps de guerre, les autorités bâillonnent les structures garde-fou et assouplissent la législation environnementale.
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